La nouvelle choquante de Macron effraie tout le monde !

Un vent de panique souffle sur Paris : Emmanuel Macron, au cœur d’un projet européen controversé, pourrait transformer radicalement la gestion du patrimoine des citoyens français. Selon des sources fiables, l’Élysée aurait orchestré un plan visant à centraliser et surveiller les biens des Français sous le prétexte d’une réforme de transparence financière. Ce programme, qui inclurait la création d’un registre unique répertoriant tous les actifs des citoyens – immobilier, or, actions, comptes bancaires, et même cryptomonnaies – déclenche des inquiétudes majeures.

 

Derrière les promesses de lutte contre la fraude et de financement de la transition verte, de nombreux experts craignent une confiscation déguisée. Un haut fonctionnaire de Bercy a même qualifié cette initiative de “bombe à retardement contre la classe moyenne”. L’État, une fois informé de la fortune des citoyens, pourrait prélever des fonds légalement, ouvrant la porte à des dérives autoritaires.

 

En parallèle, un autre projet inquiétant émerge : la surveillance numérique, soutenue par Paris, connue sous le nom de “chat contrôle”. Officiellement destinée à protéger les enfants des contenus illégaux, cette directive permettrait de scanner les conversations privées sur des plateformes comme WhatsApp et Telegram. Les experts en cybersécurité tirent la sonnette d’alarme : la fin du chiffrement de bout en bout signifie la fin de la vie privée.

 

Le gouvernement français, dans un silence assourdissant, semble soutenir cette dérive. Des membres de la majorité affirment que la sécurité prime sur la confidentialité, tandis que des voix s’élèvent pour dénoncer la criminalisation progressive de toute opposition. Les critiques du gouvernement sont désormais étiquetées comme complotistes ou extrémistes, et certains élus évoquent même l’interdiction de partis jugés antidémocratiques.

 

La méfiance grandit dans les rues : “On veut nous désarmer, nous dépouiller”, témoigne une manifestante à Lyon. Macron, perçu comme un gestionnaire pour Bruxelles, semble orchestrer un glissement silencieux vers un État où la liberté individuelle est sacrifiée sur l’autel de la sécurité. Alors que l’attention se tourne vers les crises extérieures, un changement fondamental se produit sous nos yeux, où rien n’échappera au regard de l’État. La démocratie devient une façade, et la surveillance, le ciment d’une Europe de contrôle. Les citoyens doivent désormais se demander : jusqu’où ira cette dérive ?